dimanche 29 janvier 2012

Maxwell est à Paris.




Le son d'un spectacle, ce qui réside dans le lieu, ce type cette nature la couleur des résonances et l'esprit des localités. C'est l'improvisation (le vierge le vivace et le bel aujourd'hui...) bien sur qui permet de se mettre à poursuivre les coins et les recoins, ce qui fait s'élever décoller ressentir les bords et les échos, et cette perspective qui d'un coup d'un seul s'ouvre et transporte les matières et les corps en présence. 
C'est cela, oui, une unité, la volonté de donner une visibilité à la sensibilité embrassé, un son et un tremblement, une aventure commune.

La méthode Maxwell est un spectacle qui permet cela de manière douce et ouverte. L'électrique des épopées que l'on décide d'entamer. Pour le plaisir la surprise et tout ce que l'on ne sait pas. Voilà la responsabilité. Partager la tentative, l'appel à survoler un temps l'endroit et l'envers d'un espace occupé, s'occuper de tout occuper, remplir les oreilles de ce qui existe ici déjà tellement et un peu plus, au delà.
Auditeurs, auteurs, tous fabricant d’Odyssées, constructeurs bâtisseurs inventeurs d'un moment collectif, ce mouvement d'ensemble qui accepte qui veut qui ne désire que dessiner pour un court instant l’intérieur et les espoirs camouflés de chacun. Voilà. Générer un sentiment, une simple péripétie acoustique qui peut être touchera l'état formidable que l'on pourchasse et qui donnera une dimension aux quotidiens.

Et... le béguin pour les expéditions improvisés, amourette des "qui sait".
aa

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